Je ne suis pas devenue entrepreneur et coach de vie, axée sur la recherche du potentiel de chaque femme hypersensible du jour au lendemain, ni sur un coup de tête.
Ce fût un chemin avec de nombreux carrefours ces dernières années. ⠀
Un cheminement non pas planifié par mes soins mais qui était déjà là, au fond de moi et que les maux de mon corps m’ont aidé à comprendre la nécessité absolue de mettre en place.
Souvenez-vous, il y a quelques posts en arrière sur mon Instagram, je vous ai parlé de mon envie furieuse de créer un blog et les maux de ventre qui se sont arrêtés une fois la création mise en place.
Puis l’absolue nécessité de créer mon programme « sème les graines de ta nouvelle vie » de coaching et de bien-être, il y a 3 ans. La création de ce programme avait été si facile. Il coulait de source. Comme si une main écrivait le plan à ma place.
Puis la mise en place de la vente pour toucher le plus de femmes possibles et réaliser qu’en plus de la création, aider les femmes à aller plus haut m’était aussi facile et me procurait non pas de la fierté mais juste de la plénitude.
J’étais à ma place. Tout simplement.
Il faut savoir qu’à cette période, je travaillais dans les villas du Golfe de St-Tropez au service des clients, et j’avais très peu de temps pour mener mon projet.
Je ne pouvais rien mettre en place de vraiment professionnel faute de temps mais aussi car je vivais avec une personne qui avait une forte emprise sur moi. Il se moquait et dénigrait absolument tout ce que je mettais en place. Tu peux retrouver ma chronique sur ce pervers narcissique ici.
Mais tu sais quoi ? Quand on a une mission, un besoin très fort, d’aider les autres, ou n’importe quelle ambition ou rêve; elle poussera même dans la bouse la plus profonde. Comme un engrais.
C’est une leçon que j’ai apprise ces dernières années sur ma personnalité. Rien. Absolument rien ne m’a freiné et je n’ai jamais cessé de semer des graines pour coacher une ou deux personnes par ci par là.
Pendant le confinement en solo, j’avais créé « les portraits confinement » sur ce blog, alors que j’étais en pleine rupture. Puis en été 2019, j’ai créé « mes chroniques HS » sur ce blog toujours.
J’ai continué à proposer mon fameux programme que j’aime comme mon enfant aux plus de femmes possible.
Puis en fin d’année 2019, j’ai décidé de me former au métier de coaching pour accumuler une technique et de nouveaux outils. Par pur plaisir d’apprendre et de transmettre.
J’ai aussi pris de nombreux cours pour bien mettre en place mon business en ligne.
Je suis donc à ce jour coach de vie, entrepreneur et créatrice de programmes de coaching, axée sur le potentiel des femmes hypersensibles et il m’a fallu 5 ans pour que le métier pour lequel je suis faite prenne pleinement sa vie. Il m’a fallu des expériences professionnelles désastreuses et d’autres enrichissantes pour en arriver là où je suis aujourd’hui.
Ce fut un chemin bien rocailleux.
Charlotte Wils écrit dans le livre duo avec Maurice Barthélemy : « l’hypersensible a une grande capacité de créativité, d’autonomie et d’organisation. Il fait un excellent entrepreneur ».
Je suis donc bien à ma place actuelle.
Elle dit aussi « certains HS peuvent vivre une vie entière en errance professionnelle , à chercher leur place ».
A 49ans, je suis qui je devais être. Enfin !
Je suis Nathalie Rousselle, coach de vie et ma voix atteint celles qui doivent m’entendre.
Chacune de nous, de vous, entendra une voix différente. C’est peut-être la mienne.⠀⠀
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